Mostrando postagens com marcador mclaren. Mostrar todas as postagens
Mostrando postagens com marcador mclaren. Mostrar todas as postagens

sexta-feira, 9 de maio de 2014

Ayrton Senna Da Silva, l'étoffe d'un héros


C’est encore un beau cadeau que nous fait aujourd’hui la journaliste Martine Carret. Après avoir partagé avec nous ses archives, Martine nous offre en exclusivité un article sur Ayrton Senna, le pilote qu’elle a côtoyé pendant plusieurs années sur les circuits de Formule 1, et qui nous fait encore vibrer vingt ans après sa disparition. Merci!

Ayrton Senna - Alain Prost - Ron Dennis - McLaren - Estoril 1988 - Portugal

Pourquoi 20 ans après sa mort, ce triple campeão suscite-t-il toujours autant d‘émotions, de tristesse et de soupirs ?

Par Martine Carret, envoyée spéciale de France-Soir sur les GP 1991-1997.

Il était rapide et sa monoplace dansait sous la pluie. Il se jouait des éléments, au volant de monoplaces parfois rétives, parfois dociles. Il les domptait. Sans les dominer. Car même si sa façon de piloter semblait parfois brutale, il y avait une dose de finesse contrôlée dans son pilotage.

Ayrton Senna était un pilote talentueux, certes, mais ce n’était pas qu’un pilote. Et je crois que la dimension qu’il a atteint aujourd’hui dans nos mémoires, nos souvenirs, émane de cette autre face.



Pourquoi de jeunes gamins qui ne l’ont pas connu, ou à peine, qui n’étaient même pas nés et ont découvert son parcours au travers de livres ou de films en parlent-ils avec émotion ?

Le récit de ses exploits ? Pas suffisant. Négligeable.



Tout bon metteur en scène de Hollywood vous dira que pour assurer le succès d’un film, un acteur de renom ne suffit pas. Il faut un environnement, une sauce, une alchimie. Il faut un storytelling. Un héros, une quête, des embûches, la face cachée du héros, son affaiblissement, la faute avouée, la reconquête, la rédemption. C’est ce qui a assuré le succès planétaire de Star Wars et de Harry Potter.

Ayrton et Alain se sont affrontés. Et aucune des victoires de l’un n’aurait eu la saveur qu’elle a eue sans la défaite de l’autre. Ils se nourrissaient chacun de l’autre. Ils étaient rivaux, mais complémentaires. Ce sont justement ces affrontements qui les ont ancrés dans la mémoire collective.

Parce que la victoire est infiniment plus belle lorsqu’elle est disputée, en face à face.

Tout a été suffisamment disséqué sur leurs exploits, leurs titres, leurs confrontations musclées. Il est inutile que j’ajoute quoi que ce soit là-dessus.

Humanoïdes

Je préfère vous parler de ce qui m’a interpelée en tant que professionnelle qui les a côtoyés quelques années. Ils se ressemblaient. Plus qu’ils n’avaient envie de se l’avouer d’ailleurs. Dès qu’on leur tendait un micro, ils avaient quelque chose à raconter. Ils pouvaient chacun vous décrypter chaque virage, chaque quart de millième de seconde perdue dans quelle courbe. Pas besoin de demander de confirmation à leurs ingénieurs, leurs analyses étaient toujours judicieuses. Leurs cerveaux étaient des mesures de télémétrie ambulante. Leurs corps étaient leurs monoplaces. Ce n’était pas des hommes, mais des pilotes qui vivaient leurs courses avec leurs tripes, avec leurs corps.

Lorsque Ayrton raconte à Monaco qu’il est sorti de sa monoplace en esprit et qu’il a visualisé la meilleure trajectoire, il n’y a rien de magique là-dedans. Il fait simplement un exercice de visualisation mentale, comme d’autres yogi le pratiquent, ou certains sportifs, notamment les apnéistes. Ayrton met toutes les chances de son côté pour gagner en se préparant, physiquement, mais aussi psychiquement.

En dehors de leur monoplace, ces deux hommes pouvaient s’exprimer sur d’autres sujets que la F1. Et c’est cela qui nous plaisait.

Entendre Mansell chaque dimanche victorieux de 92 nous dire après la course « I’ve done a fantastic job » et remercier sa femme commençait à devenir répétitif. Et je peux vous assurer qu’il était vraiment difficile de remplir le journal du lundi avec ces deux phrases.

Alain et Ayrton pouvaient disserter des heures durant sur leurs sensations en course, mais aussi sur d’autres sujets. On ouvrait les vannes. Boum… Le flot sortait. Et en plus des remarques intelligentes ! Avec une réflexion menée, avec du vrai contenu. Pas des phrases préformatées pondues par un service de marketing. Non, du contenu humain. Raconté par des pilotes qui étaient des êtres profondément humains.

Flash-back. En 1993, je suis à Monaco. Je dois remplir le journal du samedi. Monaco, un quotidien français. Vous imaginez la pression. J’ai l’intention de faire vivre un tour de circuit à Alain et qu’il me dissèque la piste, morceau par morceau. Sauf que… « Je ne vous parle pas ! » Je suis scotchée. « Le Small » comme on le surnomme vient de me mettre KO. J’apprends par son équipe qu’il refuse de parler à certains journalistes, furieux de notre traitement de la course précédente de Donington. En fait, je saurai plus tard qu’il n’a jamais lu mon papier (où je n’avais fait que donner la parole à ses mécanos mécontents) mais que son entourage lui a dit que… Je me retrouve donc sans article. Je fais le tour des yachts (oui, ca fait un peu « jet-set », mais toutes les équipes ont des bateaux). Personne. Ils sont au golf avec le Prince ou en sortie obligatoire avec sponsors. J’atterris dans le paddock. Branle-bas des Brésiliens qui ont rendez-vous avec Ayrton. Je me pointe sur le bout des ongles. J’ose demander si je peux espérer avoir quelques minutes avec lui… Il se confie en portugais. Je patiente. Si seulement c’était de l’italien ou de l’anglais ! Mais non. Je patiente encore. Les Brésiliens repartent. Je me dis que j’ai enfin ma chance. Il doit être 18h et je n’ai pas écrit une ligne. Je dois être blanche. Il me regarde : « Let’s go ». Et boum, les phrases s’enchaînent toutes seules. J’ai mon papier ! Il vient de sauver ma peau.

Ça c’était Ayrton, spontané, ouvert quand il en avait envie. J’ai couru jusqu’à l’horrible parking sous-terrain où était installée la salle de presse. Des murs de béton, pas de fenêtre. Épouvantable salle de presse, détestée par tous. Trois jours à Monaco pour être terrés dans un sarcophage de béton, avec des panneaux « Sens Interdit » au-dessus de nos têtes et des néons trop lumineux. Qu’importe, j’avais ma « une » du lendemain. Obrigada, Ayrton.

Destiny Day

Imola 94. On a tout de suite compris qu’on perdait un pilote, mais aussi un être humain d’une complexité extrême, un être fascinant. Pour les photographes, il était photogénique, surtout de profil. Brun, ténébreux sans être d’une beauté classique, il prenait la lumière comme certains acteurs savent accrochent la moindre lueur du soleil ou d’une bougie. La beauté n’a rien à voir avec la photogénie. Son intensité du regard et sa prestance étaient parfaites sur papier glacé.

Être journaliste sur un grand-prix, ce n’est pas juste savoir raconter des tours de piste et analyser des statistiques. Ce n’est pas raconter ce que le téléspectateur a vu dans son écran TV. Même si en l’occurrence, ce jour-là TF1 était en pause pub au moment de l’accident… Notre job, c’était de raconter les hommes au-delà de leur pilotage.

Et cela, des personnalités aussi fortes qu’Alain et Ayrton nous l’offraient avec générosité.

En 1995, lassée sans doute d’entendre égrener les mêmes banalités à la fin des courses qu’il domine de A à Z, je demande à Michael Schumacher ce qu’on peut offrir comme cadeau d’anniversaire à quelqu’un qui a déjà tout. Il est désarçonné. Me fait répéter. Réfléchit et me dit qu’il me répondra 15 jours plus tard. En fait, il n’a jamais su répondre à cette question.

On a tous un peu retrouvé de joie dans le travail lorsque Jacques Villeneuve est arrivé, facétieux, avec sa décontraction nord-américaine, ses cheveux décolorés, ses blagues. Au moins, on avait un personnage sympathique à interviewer ! Car en dehors de Jean Alesi et Olivier Panis, les discussions étaient restreintes avec Hakkinen ou Schumi.

Mais à ce jour, à part Platini peut-être et Rai qui m’ont apporté de belles interviews et de beaux souvenirs professionnels, je n’ai jamais récupéré l’intensité d’un dialogue obtenu avec Alain ou Ayrton.

Voilà, ce qui à mon sens les différencie des autres pilotes. Cette capacité à s’émerveiller et à s’intéresser à d’autres choses.

Lorsque Senna au Brésil 94 nous avait présenté son petit Senninha, le personnage de sa fondation, il était comme un gamin impatient devant un sapin de Noël illuminé. Fier de nous dévoiler ses projets humanitaires.

Certains cherchent à savoir qui est le plus grand pilote de l’histoire et blabla et blabla. Les débats sont infinis. Je ne m’y intéresse pas. Car j’ai eu la chance et l’immense privilège de croiser les hommes qui existent derrière les chiffres et les statistiques.

Après Imola, j’ai perdu l’enthousiasme de mon travail. Je traînais les pieds sur les GP. Surtout après l’accident de Wendlinger à Monaco. J’allais travailler la peur au ventre. Je n’étais pas préparée à écrire sur la mort en direct. Je voulais parler de la vie !

Et puis, un jour, je suis allée dans un grand jardin, bordé d’arbres centenaires. Autour, la circulation de São Paulo, mégalopole sale, bruyante, tentaculaire, polluée. Mais au cimetière de Morumbi, au milieu d’une pelouse jonchée de fleurs, le bruit ne m’atteignait plus.

J’ai regardé une pierre posée à même le sol. Ayrton Senna Da Silva 1960-1994. Une inscription « Rien ne peut me séparer de l’amour de Dieu. » Un oiseau s’est envolé d’un arbre. Je l’ai regardé partir. Et une étrange sérénité m’a envahie.

PHOTOS AYRTON SENNA - ALAIN PROST












sexta-feira, 2 de maio de 2014

While Ayrton Senna raced for four teams during a decade in which he illuminated Formula 1, it is McLaren with which the Brazilian legend remains most synonymous.


In the week that marks the 20th anniversary of Senna's untimely death at Imola, the publication of a new book by award-winning motor racing journalist and author Maurice Hamilton titled 'Ayrton Senna - McLaren' lifts the lid on that compelling and highly successful six-year relationship through the personal recollections and anecdotes of the people who worked with Ayrton inside the team and knew him best outside it.

"It's not exaggeration to say Senna was family - he was," Hamilton told Sky Sports Online. "As the team goes, they saw him as family and I think the wider world saw him as a McLaren man.

"You have to remind them almost that he had a season with Toleman and then a couple of seasons with Lotus. He scored his first win with Lotus and while that was spectacular enough, people tend not to remember that.


"McLaren's where he achieved all his success - three world championships and all bar six of his 41 grand prix wins - so he is automatically tied to them. He is also automatically tied to them because of the wonderful performances that we all remember, things like Donington '93 and the pole lap at Monaco in '88. All these various amazing drives were by and large done in a McLaren so you associate the yellow helmet with the red and white car."

The challenge of bringing fresh perspective and insight to the Senna story two decades on was not lost on the author, but direct access to both the Brazilian's former inner sanctum at McLaren and the Senna family allowed the fascinating story of both Ayrton the racing driver and the man to be told.

"There are probably more books on Ayrton Senna than any other driver and the question would be what would you do to make it different," Hamilton explained.

"So what I did was, because the book is in association with McLaren and also with the approval of the Ayrton Senna Foundation, I had permission to work with McLaren and all the people that worked at McLaren with Ayrton, be it the guy in the stores, the mechanics, the engineers or the catering people, and they gave me their memories and anecdotes.

"So basically they are the voices that haven't been heard before."


Senna claimed 35 of his 41 F1 wins at McLaren (Photo ©Fujio Hara)

Across 288 pages, the hardback book recalls numerous such tales from Senna's time at McLaren and Hamilton says that "there are just some really brilliant stories".

"There is specific one that really tickled me," Hamilton continued. "It's a guy who works in the stores, so it's not a guy who'll see or whose name you'll hear mentioned, who had been there a long time. He had worked part-time for McLaren back in the late 80s and he wanted to go there permanently and he had mates inside and they were tipping him off when vacancies arose.

"One such vacancy arose in the stores so his mates tipped him off and said 'get your CV in quick'. He realised he didn't have a CV so he and his Mrs quickly knocked one up and she said to him 'look, you can't post it, you've got to take it round personally'. So they went round at nine o'clock at night to the McLaren place in Albert Drive and, typical McLaren, would you believe they don't have a letterbox! So he was standing at these locked smoked-glass doors and he's aware there's somebody moving behind in reception.

"So he's got his CV in his hand and the figure's beckoning him to shove it between the two glass doors - and then he realises it's Senna! He's terribly embarrassed by this but Senna says 'come on, come on, push, push'. So he pushes it through and Senna drags it to the other side and gives him the thumbs up. Some months later he got the job and he saw Ayrton at the factory and he mentioned this and Ayrton remembered it.

"What Ayrton had been doing was - this was in the days before mobile phones and the communications we have now - actually using McLaren's phone at night to phone Brazil because it was cheaper!"

Source http://www1.skysports.com/f1/news/22058/9291619/the-world-saw-him-as-a-mclaren-man-maurice-hamilton-on-his-new-senna-book

sábado, 26 de abril de 2014

Ron Dennis remembers the laughter and fun with Ayrton Senna

Ron Dennis reminisces about his memories with the Legend that is Ayrton Senna. 

Next week will mark 20 years since the deaths of Ayrton Senna and Roland Ratzenberger at the 1994 San Marino Grand Prix.


Ratzenberger died in an accident in qualifying for the Grand Prix and then Senna died seven laps into the race after an accident. 

Senna had driven for McLaren before moving to Williams, with whom he won the 1988, 1990 and 1991 world championships with.

Senna and team-mate at the time, Gerhard Berger, played many practical jokes on each other. These included a briefcase being dropped from a helicopter, frogs in a hotel room and smelly cheese in an air vent.

Ron Dennis, McLaren CEO, spoke about the fun times with Senna to Reuters. He said: "Needless to say, when one of the group got back to his room later that night there was nothing in it. Nothing. No furniture. No clothes. Nothing. I remember the laughter and the fun. Normally there'd be things verging on the slapstick and not so funny, especially damaging property which frequently happened... it was childlike but at the same time a really good feeling inside the team."

Dennis revealed that Berger had given him the perfect solution after a tense time between Senna and his previous team-mate Alain Prost and the controversial 1989 Japanese GP.



"Gerhard gave me the perfect weapon to deal with Ayrton because he brought humour to the team. I would say the concept of telling a joke and Ayrton laughing at it was not even possible before Gerhard got in the team. But then that just created a massive ice-breaker. It got to the extreme. Gerhard has no limits. I mean, no limits. He'll go to the point where it is positively dangerous. There was one moment where we were up in Hamilton Island and were diving. And we were at quite a good depth and Gerhard just came and turned my air off. He thought that was hilarious."

Ron acknowledged that the Brazilian's death will be marked around the world and he will be remembered forever, for his greatness: "He was so good for all the period he was on the planet. I can see no positive-ness in the fact that he had an accident and lost his life. But you didn't see any decline. I think there's lots of drivers that stay in the sport too long. And they tarnish their greatness. He was just unbelievably competitive and then boom! Not there. So what do you remember? I never thought 'I wonder what Ayrton would look like if he were here today?'. Well, one thing he would look is a hell of a lot older. And he would have had other things in his life that would have detracted from that reputation. He might have had a failed marriage. He just came to an abrupt end so you remember that greatness. That's one thing. And secondly he was great. Because he had human values, he was very principled."

Source: http://www.f1today.net/es/noticias/ron-dennis-remembers-the-laughter-and-the-fun-with-senna

Ron Dennis relembra de Ayrton Senna brincalhão e lendário

Ron Dennis, chefão da McLaren, a menos de uma semana do 20º aniversário da morte do tricampeão mundial Ayrton Senna (1º de maio), lembrou que se divertia muito com o piloto brasileiro. Dentro e, principalmente, fora da pista. Dennis chefiou Senna entre as temporadas de 1988 e 1993 – período em que Ayrton conquistou três títulos mundiais e definitivamente transformou-se em uma lenda na Fórmula 1.


As principais lembranças de Ron Dennis estão ligadas a dupla Senna/Gerhard Berger. Foram uma série de brincadeiras, as chamadas pegadinhas, que incluem: uma pasta executiva jogada de um helicóptero, sapos soltos dentro de um quarto de hotel e queijo mal cheiroso jogado na ventilação.

“Lembro de tudo e dou risada”, disse o sisudo Dennis. “Claro que aconteceram brincadeiras não tão engraçadas e que danificaram propriedade alheia. Frequentemente aconteceu. Era algo infantil, mas que ao mesmo tempo trazia uma sensação (clima) muito bom dentro da equipe”, falou o dirigente.


O britânico revelou que Berger tinha foi o antídoto perfeito depois da tensão recorrente entre Senna e seu anterior companheiro de equipe: Alain Prost. “Gerhard me deu a arma perfeita para lidar com Ayrton. Ele trouxe bom humor para a equipe. Eu diria que contar uma piada e Ayrton rir não era possível antes”.

Dennis disse que Berger chegava ao extremo em suas pegadinhas. “Ele não tinha limite. Ele vai até o ponto mais perigoso. Certa vez fomos mergulhar em Hamilton Island e quando chegamos a uma boa profundidade, simplesmente desligou meu oxigênio. Provavelmente, ele achou que foi hilário”.

O chefão lamentou a morte de Senna: “ele teve um fim abrupto. Então lembramos de sua grandeza. Ele era sensacional porque tinha valores. Era muito íntegro.”

Fonte: http://amigosdavelocidade.uol.com.br/ron-dennis-relembra-de-ayrton-senna-brincalhao-e-lendario/

A morte só acontece aos outros...



Pilotos de Fórmula 1 tendem a mentir-se a se mesmos, pensando que a morte só acontece aos outros ...

Formula 1 drivers tend to lie to themselves, thinking that death only happens to others... 

sábado, 15 de março de 2014

A batalha de Ayrton Senna e Alain Prost na McLaren

Ayrton Senna sabia que sua principal batalha em 1988 seria contra seu companheiro de equipe. No entanto, ele não dudava sobre o resultado, como ele disse a amigos: "Vou destruí-lo." 



Na época, a maioria dos observadores do paddock não tinham dúvida de que Senna seria estourado por Prost em 1988. Ninguém pensou que ele iria entrar e dominar Prost do jeito que ele fez e nem Prost. 


Na verdade, no início da temporada, Prost estava totalmente despreocupado com o seu novo companheiro de equipe. "A McLaren é a única equipe que pode ter dois melhores pilotos com habilidades iguais nas escalas materiais e psicológicas", disse ele na época. "Eu vou ajudá-lo a se tornar um membro da equipe. "Ele nunca esteve com um companheiro de equipe que pilota rápido. Ele tem a vantagem de sua juventude e motivação, tenho muita experiência, e eu tenho uma palavra a dizer sobre o assunto. Nosso objetivo é construir uma equipe de alto vôo e se temos o melhor carro, vamos competir uns contra os outros, e pelo campeonato. Existem dois tipos de competidores: os seus adversários, e os seus companheiros de equipe, que são muitas vezes o mais temívels, já que você está pilotando o mesmo carro." 

Ayrton Senna - Mclaren Honda MP4/4 - 1988
Não havia nenhuma dúvida de que Prost era o mais experiente dos dois. Mas Senna estava convencido de que iria se provar como o piloto mais rápido - e ele estava certo. O brasileiro também teve uma enorme vantagem através de seu relacionamento com a Honda, que haviam sido surpreendidos pela sua compreensão da engenharia. Ele foi o primeiro piloto com quem a companhia tinha comunicado com sucesso. Mas Prost já tinha feito quatro anos com a equipe. Era a sua equipe.

sábado, 25 de janeiro de 2014

Ayrton Senna: sempre faça tudo com muito amor e com muita fé em Deus


"Seja você quem for, seja qual for a posição social que você tenha na vida, a mais alta ou a mais baixa, tenha sempre como meta muita força, muita determinação e sempre faça tudo com muito amor e com muita fé em Deus, que um dia você chega lá. De alguma maneira você chega lá." 

Ayrton Senna

Ayrton Senna: um herói mundial


Todas as situações as quais somos confrontados ou proporcionados são um aprendizado diário para o nosso desenvolvimento e fortalecimento. O objetivo é que venhamos polir nossas armaduras e adquirirmos garra, coragem e determinação. Justamente diante de algumas situações é que conseguimos nos decodificar e nos conhecer melhor. 

Ayrton Senna, ao partir ainda muito jovem, no auge de sua vida e carreira, ele deixou de ser um mito e passou a ser um herói mundial. Destinou a sua vida, batalhando pelos seus objetivos. Dentro do seu carro de Fórmula 1, todos os brasileiros permaneciam com ele e tínhamos toda a confiança de que venceríamos. Não existia medo dentro de nós, só coragem, garra e determinação. Ele nos mostrou que poderíamos transformar as coisas. Ayrton Senna da Silva, o eterno campeão! 

Ayrton Senna era obcecado pelo sucesso


Ayrton Senna era obcecado pelo sucesso, sempre procurava chegar, ou até mesmo superar o limite da condição humana. 

Ele foi o piloto da Fórmula 1 que ultrapassou todos os limites. Ao longo de dez anos, Ayrton Senna levou o público ao delírio com suas vitórias espetaculosas. Seu estilo único de pilotar, sua garra e sua incrível agilidade ficará para sempre na história do automobilismo mundial. 

No entanto Ayrton foi mais que isso: Foi um verdadeiro ídolo, um exemplo de coragem e determinação, o piloto abençoado, o filósofo da Fórmula 1, o maior piloto de todos os tempos, o menino travesso e o homem sensível, sua profunda religiosidade e engajamento social. Ayrton, você sempre estará eternamente em meu coração!

Ayrton Senna estará sempre em nossas lembranças


Se houver em seu coração o sentimento da saudade é porque nele existe um registro de amor com relação ao alvo dessa saudade, de maneira que você poderá dizer que amou com profundez, uma vez que a figura dessa pessoa, que peregrinou nos caminhos de sua existência, permanecerá eternamente em seu coração. Sendo assim, a saudade é uma forma de amar intensamente. 

Ayrton Senna estará sempre em nossas lembranças. Sua persistência, garra, fé, talento e entrega, permanecerão para sempre marcados em nossos corações. E a cada ano que passa, parece que a saudade aperta mais o coração, principalmente no dia 1º de maio. Saudades de nosso super-herói, que não necessitava de superpoderes. Bastava um carro e uma bandeira que representasse à pátria que ele tão bem representava. 

Ele deixou mais que títulos, recordes e uma carreira extraordinária. Ayrton deixou seu espírito de garra, determinação e conquista, atributos que apenas os verdadeiros ídolos são capazes de transmitir a toda uma nação. 

terça-feira, 21 de janeiro de 2014

Ayrton Senna fala sobre o medo no carro de corrida


Senna sempre foi convencido de que o medo ia embora uma vez que ele entrava em um carro de corrida - qualquer que tivesse existido totalmente fora do cockpit. Como ele disse: "Você não deve ter medo, porque se você tem medo, você não pode se comprometer. É importante saber o que o medo é porque ele vai mantê-lo mais alerta." 

Em muitas ocasiões, ele irá determinar os seus limites. "Quando Senna ficava assustado ele sempre parava, como em Mônaco, em 1988.

segunda-feira, 6 de janeiro de 2014

Ayrton Senna: "O fato de ser brasileiro só me enche de orgulho"


Senna era um homem orgulhoso do seu país, o Brasil, que não estava passando o melhor dos momentos em que Senna estava competindo na Fórmula 1. Portanto, as pessoas no Brasil o reverenciavam como uma referência das boas coisas que poderiam acontecer no país, em tempos muito difíceis.

Embora ele foi considerado dentro da Fórmula 1 como um homem de um país do Terceiro Mundo, Senna nunca hesitou em levantar a bandeira do Brasil depois de cada vitória, como uma forma de prestar homenagem a seus fãs e simpatizantes em seu país.

Ayrton Senna odiava testes - ele achava em grande parte uma perda de tempo


Conforme 1992 terminava e 1993 começava, Ayrton Senna teve tempo de sobra para relaxar, descansar e rever sua vida. No final de 1992, ele se tornou livre e estava fora do contrato com a McLaren, o que significava que ele não tinha compromissos com patrocinadores para a equipe e, mais importante, nenhum teste para fazer. Senna odiava testes - ele achava em grande parte uma perda de tempo.

Ele também acreditava que a rotina sem fim ao redor da pista embotava suo pilotagem. Ele preferiu deixá-lo para os outros. Na verdade, ele freqüentemente achava as sessões de testes apenas dissimulados eventos promocionais para os patrocinadores da McLaren, com ele amarrado dentro.

terça-feira, 31 de dezembro de 2013

Fotos Ayrton Senna e Michael Schumacher

"Somos concorrentes não rivais" - Ayrton Senna sobre Schumacher em 1994. 

"Fico contento, pois estivemos mais próximos, nos últimos momentos da vida de Ayrton, e a conversa transcorreu num tom amigável." - Michael Schumacher sobre Ayrton Senna










sábado, 14 de dezembro de 2013

Ayrton Senna dizendo adeus a Honda no final de 1992

Ayrton Senna dizendo adeus a Honda no final de 1992

Ayrton Senna e Ron Dennis na festa de despedida da Honda  da Formula 1, en 1992
Senna sentia que tinha sido traído pela Honda. Ele tinha ficado com a Honda, pois eles haviam pedido assim a ele em 1991, e a Honda decidiu se retirar da Fórmula 1 apenas um ano depois ..... 

No início de 1991, quando ele teve de renegociar o seu contrato com a McLaren, Senna já tinha uma outra proposta de sua equipe tão sonhada Williams ... Só sentimentalismo fez ficar com a McLaren. Isso ea pressão feita pelo seu pai, Milton e um executivo da Honda, que lhe pediram, quase imploraram, para ficar com eles e Mclaren. 

Se Ayrton teria ouvido seu coração, ele provavelmente estaria vivo hoje, já que nada das circunstâncias forçadas que aconteceram mais tarde, em 1994, provavelmente teriam ocorrido ... Ele teria sido campeão pela 5 ª vez com a Williams em 1991, 1992 e 1993, e se ele ficasse com a Williams em 1994, ele não teria de pedir modificações no carro, o que acabariam por matá-lo (falha da coluna de direcção, modificações mau projetadas e executadas).

sexta-feira, 13 de dezembro de 2013

A maioria dos jornalistas ficaram desapontados que Senna havia vencido seu primeiro campeonato em 1988

Ayrton Senna ganhou seu primeiro campeonato mundial com a idade de 28. Quando ele cruzou a linha ele olhou para cima, agradecendo a Deus. Mais tarde, ele disse aos jornalistas que tinha visto Deus no momento em que ele se tornou campeão. 


Ayrton Senna e Thierry Boutsen no pódio de Suzuka 1988
Como o novo campeão mundial assistiu aos replays de seu lance na Prost, após a corrida, ele tinha lágrimas em seus olhos. "Eu ainda não consigo acreditar que tudo acabou", disse ele. 

"Gosto de ganhar. É por isso que eu entrei McLaren e Honda. Eu queria estar em um carro vencedor. O fato de que Alain Prost foi na equipe não fez diferença para mim."



Algumas pessoas zombaram quando ele afirmou que tinha visto Deus como ele cruzou a linha de chegada, mas para Senna tinha sido uma experiência emocionante. 


Ayrton Senna e Thierry Boutsen no pódio de Suzuka 1988
Ficou claro na sala de imprensa depois que a maioria dos jornalistas tinha sido torcendo por Prost e ficaram desapontados ao ver vitória Senna.


Ayrton Senna e Alain Prost no sala de imprensa de Suzuka 1988




sábado, 7 de dezembro de 2013

Ayrton Senna recebe o Capacete de Ouro da revista Autosprint - 1991


Dezembro de 1991. ... Absolutamente todo mundo no grande público estão esperando ele, Ayrton Senna, o magico, o grande, o três vezes Campeão do Mundo de Fórmula 1.

As luzes se apagam, um feixe de luz branca acompanha a estrela brasileira para o palco ea música que se tornou a trilha sonora dos vencedores pontua os seus passos, mas fica coberta pelos aplausos, a força de cerca de dez mil mãos é ainda mais forte por causa dos amplificadores de potência.

E então, a apoteose, o momento do Capacete de Ouro 1991, uma homenagem a um grande campeão. Senna ficou visivelmente emocionado : não só porque ele estava recebendo a estatueta de Luciano Conti, o editor apaixonado da Autosprint, mas também porque era o símbolo de uma temporada incrivelmente dolorosa. E a síntese de um campeonato em que ele, Magic Ayrton como foi alegado nas arquibancadas do estádio coberto , mais uma vez impôs sua classe extraordinária ...

terça-feira, 3 de dezembro de 2013

Teste Ayrton Senna na McLaren híbrida 1988

Dezembro era o mês em que antes as equipes testavam carros híbridos, ou seja, com peças velhas e novas. Esse é uma adaptação do carro de 88 com o V10 aspirado de 89.

sábado, 30 de novembro de 2013

Ayrton Senna - biografía

AYRTON SENNA BIOGRAFIA



Ayrton Senna da Silva (São Paulo, 1960 - San Marino , 1994) foi um piloto automobilístico brasileiro. Ele cursou administração de empresas para assumir os negócios da família, era o grande desejo de seu pai, Milton da Silva, mas inclinou-se muito jovem para competições automobilísticas. 

Ayrton Senna e seu pai, Milton da Silva

Aos quatro anos, já conduzia karts, e participou de sua primeira corrida de kart aos treze anos. Sua primeira vitória foi em 1977, no Campeonato Pan-Americano de Kart . Em 1979 e 1980 participou nas respectivas edições do Campeonato Mundial de Kart. 

Ayrton Senna durante uma de sua participaçãoes no campeonato mundial de kart
Ele foi três vezes campeão mundial na Fórmula 1 com a equipe McLaren. Se destacou pela notável precisão de sua técnica de condução e um grau elevado de audácia, uma combinação que o fez praticamente imbatível na chuva. 

Ayrton Senna durante a corrida histórica em Donington 1993 com a McLaren
Além de corridas, ele era assíduo praticante de jet-ski, tênis e esqui. 

Ayrton Senna fazendo jet-ski em Angra dos Reis

Divorciado de Liliane de Vasconcelos em 1981, quando a morte o surpreendeu ele estava para romper com sua namorada, Adriane Galisteu, por causa do interesse dela em sua fama. Senna estava planejando se reunir novamente com Xuxa, o grande amor de sua vida. 


Senna queria voltar com Xuxa antes de sua morte em Imola 1994

No dia 01 de maio de 1994 sofreu um grave acidente no Grande Prêmio de San Marino, por razões mecânicas não totalmente esclarecidas, e morreu devido a danos irreversíveis que lhe afetaram o cérebro.


Ayrton Senna - Williams Renault FW16 - Imola, San Marino 1994
Ayrton Senna morreu no Gran Prémio de Imola 1994, pilotando a Williams FW16

Fonte: http://www.biografica.info/biografia-de-senna-ayrton-224
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...